bilan guerre irak 2003
Aux côtés de Nicole Bacharan, historienne spécialiste des Etats-Unis et co-auteure des “Grands jours qui ont changé … Le bilan de la guerre est très inégal : 466 … Combien de personnes ont-elles péri depuis l’invasion américaine en Irak en 2003 ? La conclusion de ce rappel historique s’impose : à savoir que la décision prise par Washington, suivie par ses vassaux européens, d’intervenir militairement en Irak en 2003 est une action qui fut, en elle-même et par ses conséquences sur moyen terme, constitutive de crime contre la paix et de crimes de guerre. On le voit, cette brave El Qaida, débarquée avec les envahisseurs US, est en passe d’accomplir le grand rêve israelien : un proche orient sans chrétiens. 2 + 2 est la somme des conflits exacerbés après l’intervention américaine en Irak. En 1999, lors de la guerre du Kosovo, au terme d'une campagne de 78 jours, on avait comptabilisé 23300 sorties, seulement ! Non. C'est vraiment des durs. Cependant, peu de temps après, Saddam Hussein est réapparu en direct sur la chaîne d'informations arabe Al Jazeera… Plusieurs rapports internes à l'Armée et à la CIA n'ont toujours pas résolu la question de savoir si Saddam Hussein était sur place ou non, ont expliqué des responsables de l'armée et des renseignements, cependant la CIA continue de penser qu'il y était probablement. La guerre en Ukraine n’est rien de plus que l’aboutissement d’un projet vieux de 30 ans du mouvement néoconservateur américain. Les deux F-117A étaient escortés par deux avions de combat EA-6B Prowler de l'US Navy, deux avions de combat F-16CJ de l'US Air Force, et ils ont ensuite été rejoints par un troisième Prowler qui a décollé du porte-avion USS Constellation, puis par un avion de ravitaillement en carburant KC-135. Franchement je ne sais pas, ça me donne des cauchemars. Précédemment au cœur de la phase offensive de l'opération Enduring Freedom en Afghanistan, les forces d'opérations spéciales n'ont jamais été autant actives que lors de l'opération Iraqi Freedom. 4 mille milliards de dollars est le coût des Intérêts cumulés sur les emprunts pour l'Irak à l’horizon 2053. Comment les pâtissiers réinventent leurs desserts, Le tubogas, du tuyau de gaz à la joaillerie, A toutes les mères débordées, faites une pause et regardez Jacinda Ardern. Alors que les pilotes larguaient leurs bombes, quelque 36 missiles de croisière Tomahawks tirés depuis des navires ont frappé diverses cibles dans la capitale irakienne. Nous écrirons désor (…) 1Concernant l’idée de révolution, cinq thèses principales nous paraissent ressortir d’un examen systématique des Œuvres complètes de V. I. Lénine 1. En tous cas pour les vestiges archéologiques uniques au monde qui ont été définitiveent rasés de la surface de la terre par l’armada US. Difficile, pour les Américains, de s’engager dans une nouvelle guerre qui présente un risque d’enlisement juste probable. Les deux F-117A devaient être au-dessus de leur cible juste après 5 heures, au risque d'être surpris par le lever du soleil qui révélerait leur position à la défense anti-aérienne irakienne. Depuis, une nouvelle organisation connue sous le nom d'Al-Qaïda en Irak, a vu le jour. La guerre en Irak qui débute le 21 mars 2003 résulte du principe de guerre préventive défini par l’administration de George W. Bush (cf. soutenir la création d'une force militaire irakienne ; soutenir la mise en place d'un gouvernement irakien provisoire ou permanent ; garantir l'intégrité territoriale de l'Irak ; transférer les activités militaires et civiles à des organisations internationales ou non gouvernementales ; s'assurer que toutes les armes de destruction massive aient bien été détruites ; collecter des renseignements, mettre en détention les terroristes et les criminels de guerre, libérer les personnes qui ont été injustement placées en détention ; remplacer les troupes tout en maintenant une présence militaire. Elle aura été un tel désastre à tous les niveaux que la célébration du dixième anniversaire de son déclenchement, le 20 mars dernier, s’est déroulée dans une certaine discrétion. L'Iran et la Corée du Nord, qui auraient pu être intimidés, ont, au contraire, développé leur capacité à se doter d'armes de destruction massive. Que fait le TPI ?? A lire aussi : En parallèle, dans la région du Kurdistan, la coalition avait initialement prévu que la 4e division d’infanterie mécanisée de l'US Army venue de la province de Mardin en Turquie, division assez légère (elle était, semble-t-il, loin de disposer de tous ses blindés, surtout de tous ses chars lourds de combat Abrams et de toute son artillerie lourde (canons automoteurs M109 Paladin et lance-roquettes multiples M270), et ne disposait très probablement pas d'un appui aérien rapproché aussi important que les forces de la coalition venant du Koweït) mais la plus moderne de toute l'armée américaine au point de vue de son informatisation (et encore en cours d'expérimentation…), « fixe » dans cette région, avant l'invasion, une partie importante de l'armée irakienne, cette division ayant pour mission, soit de « menacer » Bagdad suivant un axe nord-ouest ⇒ sud-est (pendant que les Américains mèneraient l'attaque principale sur la capitale suivant l'axe sud ⇒ nord) dans l'hypothèse où l'armée régulière irakienne se trouvant au Kurdistan se serait rendue, soit de « fixer » pendant toute la durée de l'invasion et jusqu'à la chute de Bagdad, une partie importante de l'armée irakienne dans cette région, les forces kurdes du PDK et du UPK devant dans le même temps « menacer » Mossoul et Kirkouk[réf. Nous vous conseillons de modifier votre mot de passe. Au fur et à mesure que des portions du territoire sont libérées, ces opérations post-combat ont été mises en œuvre, alors même que les combats continuaient ailleurs. En 2002, l'administration américaine chercha des preuves, quitte à les inventer, que le dictateur irakien détenait des armes de destruction massive, menaçant les États-Unis et leurs alliés, et que l'Irak faisait partie des trois pays qui, aux yeux de la Maison-Blanche, étaient complices du terrorisme qui venait de frapper les États-Unis le 11 septembre 2001. Près de 180 000 irakiens, civils et militaires tués. Elle mène des attaques contre les forces américaines, les forces de l’ordre irakiennes et la population civile. WebLe 28 février 1991, le gouvernement irakien accepte, sans condition, toutes les résolutions de l’ONU. Outre un drame humain, ce conflit aura été un gouffre financier. Guerre d'Irak : comment tout a commencé il y a dix ans. Le 20 mars 2003, l'armée américaine intervient en Irak. George W. Bush et les faucons de son gouvernement n'auront de cesse de convaincre leurs alliés que Saddam Hussein détenait des armes de destruction massive. (P. 71). La clé de l'approche de Tommy Franks, c'était de faire des opérations conjointes : intégration étroite des différentes branches armées américaines (l'US Air Force, l'US Army, l'US Marine Corps et l'US Navy), qui ne travailleraient plus chacune de leur côté, mais conjointement. http://mideast.foreignpolicy.com/posts/2013/03/20/the_iraq_war_ten_years_in_ten_numbers?wp_login_redirect=0, Inscrivez-vous pour participer à AgoraVox, RD Congo-Tshisekedi/Beni : Les sept erreurs stratégiques du président Tshisekedi dans la crise de Beni, RD Congo - Beni : L’évasion de la prison de Beni et les secrets inavouables, RD Congo / Elections 2023 : Entre victoire écrasante et pays ingouvernable, La stratégie Kabila-Kagame de reconquête militaire du Kivu-Ituri par les RDF et de brouillage sémantique, L’Afrique du Sud confirme sa participation aux manœuvres navales (...), La démocratie américaine battue en brèche, Considérations sur le journalisme après l’interview ahurissante du porte-parole de l’ambassade de Russie en France sur BFMTV, Quand Macron reçoit secrètement à l’Élysée 10 éditorialistes influents « afin que la parole présidentielle infuse dans l’opinion », Quels pays sont prêts à livrer des chars modernes à l’Ukraine. Le bilan de la guerre en Irak, de 2003 à 2011, est de 4486 morts et 32232 blessés américains. Dirigée depuis le United States Central Command (CENTCOM) elle s'appuie sur la doctrine choc et effroi (en anglais : Shock and Awe)[note 1] qui tente par l'emploi d'armements très puissants et précis de causer un choc et d'engendrer la terreur dans l'armée irakienne et la population. Cette guerre laisse un goût amer partout des deux côtés. nécessaire], l'un des deux fils de Saddam Hussein[note 10]. Entre 104 080 et 113 728 Irakiens ont perdu la vie durant ce conflit, rapporte Iraq Body Count. américains ne sème que ruines et désordre. nécessaire]. Comparaison n’est pas raison...mais quand même ! Tous ces responsables étaient extrêmement affirmatifs et on avait du mal à croire qu'ils inventaient ou qu'au moins disons, même s'ils n'inventaient pas tout à fait, l'affaire n'était pas très sûre. Patrice Gélinet et ses invités exposent et analysent les infox qui ont défrayé la chronique de l’antiquité à nos jours. Toujours dans le domaine de la propagande, la CIA envisageait de fabriquer une vidéo dans laquelle Saddam Hussein aurait des rapports sexuels avec un adolescent pour ainsi le discréditer[6]. nécessaire]) mais, même aidée par les nouvelles forces de sécurité nationales irakiennes, elles ont des difficultés à faire face à ces violences, dont la population civile irakienne est actuellement, de très loin, la première victime. Al Qaïda s’est par ailleurs propagée dans des pays voisins comme la Syrie, la Jordanie et la Libye. Face à cette menace, les Irakiens avaient massé à l'ouest de Bagdad onze « divisions » de l'armée régulière irakienne et deux « divisions » de la Garde républicaine (en première ligne, face à la frontière avec la Turquie, les forces irakiennes étaient équivalentes à deux brigades d'infanterie motorisée de la coalition (brigades irakiennes composées chacune de l'équivalent de trois régiments d'infanterie légère, chacun d'une force militaire équivalente à un régiment d'infanterie de montagne de la coalition, et d'un régiment mécanisé, équipé de chars moyens T-55 et de véhicules de transport de troupes (VTT) MT-LB, régiment d'une force militaire équivalente, en combat rapproché, à un régiment mécanisé de la coalition, disposant de commandos, appuyés par un peu d'artillerie (canon tracté D-20 et/ou D-30) mais ne disposant d'aucun appui aérien), ainsi que des groupes paramilitaires dans Mossoul et Kirkouk ; en seconde ligne, des forces équivalentes à trois brigades de la coalition se trouvaient sur chacun des trois axes routiers menant du Kurdistan à Bagdad : la « division » d'infanterie motorisée de la Garde républicaine Nabuchodonosor, disposant d'un petit nombre de chars moyens T-62 et équipée de véhicules de transport de troupes (VTT) BTR à roues, du volume d'une brigade d'infanterie motorisé la coalition (prépositionnée à Tikrit sur l'axe Mossoul-Bagdad), la « division » mécanisée de la Garde républicaine Adnan, équipée de chars moyens T-72 de fabrication irakienne (« Lion de Babylone », dont, en particulier, le blindage est de qualité nettement inférieure à celui des T-72 de fabrication soviétique) et de véhicules de combat d'infanterie (VCI) BMP-1 (sur l'axe Kirkouk-Bagdad), d'une force militaire équivalente, en combat rapproché, à une brigade d'infanterie mécanisées de la coalition, et une force de l'armée régulière irakienne équivalente à une brigade d'infanterie motorisée de la coalition (brigade irakienne composée de l'équivalent de deux régiments d'infanterie légère, chacun du volume d'un régiment d'infanterie de montagne de la coalition, et d'un régiment blindé équipé de chars moyens T-55 et de (VCI) BMP-1), régiment d'une force militaire équivalente, en combat rapproché, à un régiment de cavalerie légère blindée de la coalition) (prépositionnée à Moqdadiyah, sur l'axe Souleimaniye-Bagdad), ces trois brigades, disposant de commandos et/ou de forces spéciales et étant, elles aussi, appuyées par un peu d'artillerie (canon tracté D-20 et/ou D-30 et, peut-être, quelques canons automoteurs 2S1 Gvozdika et/ou 2S3 Akatsiya et/ou AuF1 GCT et/ou lance-roquettes multiples BM-21 Grad) mais ne disposant d'aucun appui aérien)[réf. Les opérations militaires cessent. Il faut : Dans l'esprit de ses concepteurs, cette guerre devait être de courte durée et avec un faible nombre de soldats en comparaison à tous les conflits précédents. Il s'agissait d'une tentative de décapiter le régime irakien en s'attaquant directement à Saddam Hussein et à ses fils ; en cas de réussite, cela aurait permis d'anéantir le chef militaire de l'Irak et considérablement réduit la durée de la campagne militaire qui allait suivre. Une fois au-dessus de leur cible, les pilotes ont attendu le dernier moment pour lâcher leurs bombes anti-bunker EGBU-27 Enhanced Paveway III guidées par GPS[11]. Et il ne s'agit là que des morts de civils. nécessaire]. Elle a débuté fin mars 2003 avec les premiers bombardements américains de la capitale irakienne, Bagdad. CKEditor. Finalement, moins d'un mois avant la date de l'invasion, la Turquie n'autorisa pas les forces terrestres américaines à opérer depuis son territoire ; néanmoins, compte tenu de la faiblesse de la logistique irakienne, la plus grande partie de l'armée irakienne du Kurdistan fut forcée de demeurer sur place, à l'exception de quelques unités de la Garde républicaine qui furent envoyées en renfort des unités de la Garde qui assuraient la défense de Bagdad[réf. Elles ont aussi mené des reconnaissances et des actions offensives dans tout le pays, prenant pour cibles des installations ou des formations avec l'appui de l'aviation, et établi des contacts directs avec des chefs de clans et des commandants irakiens — probablement en coordination avec des éléments de la CIA. Selon les journalistes étrangers encore présents sur place, le déluge de feu qui s'est abattu a été, tout simplement, indescriptible. Selon Transparency International, l’Irak est le huitième pays le plus corrompu du monde. WebLa guerre et l'occupation américaine. Une communauté qui était parfaitement intégrée auparavant, qui vivait en paix dans son pays. Tommy Franks a créé un diagramme indiquant les différentes opérations militaires à mettre en œuvre contre les différentes composantes du pouvoir de Saddam Hussein. réunir une coalition militaire internationale pour mener des opérations de combat ; commencer les opérations initiales en vue de dégrader la chaîne de commandement irakienne et s'emparer des zones clés ; continuation de la recherche des armes de destruction massives. En cliquant sur « Continuer à lire ici » et en vous assurant que vous êtes la seule personne à consulter Le Monde avec ce compte. nécessaire] (la coalition avait pourtant procédé à une intense campagne d'action psychologique en direction de l'armée irakienne, promettant en particulier « la vie sauve à tout soldat irakien qui ne combattrait pas »[réf. Le mensonge, Michel Carlier parle de 60 morts parmi les civils durant la première semaine des bombardements sur Bagdad. Les prédictions extraordinairement pessimistes à propos de la guerre ne doivent pas être oubliées. Troops Still There by December 2006, Premiers enseignements tirés des opérations en IRAK, Enseignements de l'opération en Irak Iraqi Freedom, images satellites et aériennes de l'opération Iraqi Freedom, https://fr.wikipedia.org/w/index.php?title=Invasion_de_l%27Irak_par_les_États-Unis_en_2003&oldid=200781099, Opération impliquant des forces spéciales, Page géolocalisable sans coordonnées paramétrées, Conflit militaire géolocalisable sans coordonnées paramétrées, Article contenant un appel à traduction en anglais, Catégorie Commons avec lien local identique sur Wikidata, Portail:Époque contemporaine/Articles liés, Portail:Forces armées des États-Unis/Articles liés, licence Creative Commons attribution, partage dans les mêmes conditions, comment citer les auteurs et mentionner la licence. Les forces spéciales américaines et de la coalition ont effectué trois missions de manière relativement ouverte : elles ont opéré dans l'Ouest de l'Irak et contrôlé les axes reliant l'Irak à la Jordanie et à la Syrie, encadré les combattants kurdes en leur fournissant un appui-feu décisif, et récupéré du personnel en zone hostile. En 1999, les aviateurs des Etats-Unis et d’autres pays membres de l'O.T.A.N. Le gouvernement et la classe politique s’avèrent incapables d’unifier le pays et de garantir la sécurité d’une population épuisée. L'administration Bush avait estimé que la guerre en Irak coûterait entre 50 et 60 milliards de dollars. Est ce qu'il se dit que finalement, c'est le moment d'y aller ? Zéro. La couverture médiatique de l'événement est donc très importante alors même que l'accès à l'information sur place est rendu difficile.En effet, si les bombardements sont une réalité observable sur le terrain, les cibles visées sont l'enjeu du débat entre les Américains et le pouvoir irakien.Selon la version américaine, les principaux objectifs sont le quartier général de Saddam Hussein et les infrastructures permettant son éventuelle fuite de la ville (aéroport). Après l'invasion de 2003, environ 18.000 médecins ont fui l'Irak. LA RÉVOLUTION EST UNE GUERRE ; ET LA POLITIQUE EST, DE MANIÈRE GÉNÉRALE, COMPARABLE À L’ART MILITAIRE. nécessaire], la quatrième « division » d'infanterie motorisée[note 6] à une brigade d'infanterie motorisée de la coalition [réf. Bien que les combats pour l’opération Iraqi Freedom aient véritablement commencé le 17 mars 2003, les préparatifs ont débuté le 1er mars 1991, au lendemain de la fin de l’opération Desert Storm (17 janvier 1991 - 28 février 1991). Si l'on y ajoute les SEAL de l'US Navy, les Special Air Service (SAS) britanniques et australiens, il y a probablement eu jusqu'à 120 détachements présents simultanément dans tout le pays, fournissant au Central Command un aperçu global de la situation au sol tout en saturant, aveuglant et fixant les forces irakiennes[16]. l'US Navy et l'US Air Force ont pour mission de détruire les défenses anti-aériennes et les forces de sécurité irakiennes, détruire le régime irakien, détruire les capacités de production et de livraison d'armes de destruction massive… ; les forces terrestres ont pour mission de sécuriser les ponts le long de l'Euphrate, s'emparer des champs pétroliers du Sud de l'Irak, anéantir les forces irakiennes, isoler Bagdad (par le Sud, puis par le Nord et l'Ouest), traquer et détruire les armes de destruction massive (et les matières servant à leur fabrication), mener des opérations de ravitaillement…. Après cette première frappe de décapitation qui a été très largement montrée et commentée par les médias occidentaux, un doute planait sur le sort du président irakien. L'opération « Liberté pour l'Irak » (20 mars-14 avril 2003) L'Autorité provisoire de la coalition. Les effectifs de ces forces non conventionnelles ont été estimés comme suit : 2 000 opérateurs de forces spéciales, 1 000 militaires des opérations psychologiques (PSYOPS), 1 000 membres d'équipage d'unités aériennes spéciales, 2 000 soldats d'infanterie d'élite (presque tous aéroportés), 2 000 personnels des affaires civilo-militaires, et que 2 000 soldats et traducteurs des « Forces irakiennes libres » et d'autres origines. Saddam Hussein se cachait dans un réduit de 2,5 mètres sous terre relié à une cour de ferme par un très faible passage (juste suffisant pour laisser passer un homme). Pendant ce temps, dans le pays, des soins de base, telles que certaines vaccinations infantiles prennent du retard. Les plans et la durée cette seconde phase ont considérablement changé durant les 15 mois qui se sont écoulés entre le briefing initial que Tommy Franks avait fait au Président Bush, et le Jour-J. La crise irakienne de 2003. Quelque 162 000 morts en huit ans : tel est le bilan établi par une ONG internationale du nombre de victimes en Irak depuis le début de l'invasion américaine, en … Les morts comprennent également 4.488 soldats américains, 3.400 contractors (sous-traitants militaires), 11.000 policiers irakiens, 318 soldats des pays alliés, et 62 travailleurs humanitaires. Dans son livre Irak. Pour établir ce … Le but de George Bush quand il s’est lancé dans cette guerre était le détournement par milliards de l’argent public américain dans les multinationales comme Blackwater, qui fournit mercenaires privés, villages entiers de soldats (avec cinéma et fast-food) et des dépenses faramineuses en matériel de sécurité hi-tech ou non. La décision a alors été prise de frapper le site, et deux bombardiers furtifs F-117A Nighthawk du 8th Fighter Squadron "Black Sheep", 49th Fighter Wing (Holloman Air Force Base), pilotés par le lieutenant-colonel David Toomey et le commandant Mark Hoehn, ont reçu la mission dangereuse d'effectuer le tir d'ouverture[10]. Au final, la guerre pourra coûter près de vingt fois plus. Mentions légales / Le premier enseignement est que le coût (humain et financier) de la guerre d’Irak avait été largement sous-estimé. L’article résume plutôt bien la situation et confirme les nombreuses enquêtes et reportages déjà existants (sources irakiennes, américaines...). Par exemple, Paul Wolfowitz derrière Donald Rumsfeld, Steve Carbone et quand même pas mal d'autres. WebLe massacre d'un peuple. WebBILAN D'UN AN DE GUERRE EN IRAK 5 B. Les dictateurs ne sont pas des dominos 34 C.La libération de toute tutelle étrangère plutôt que la démocratie 34 D.La Libye et l’Iran : … Vous pouvez lire Le Monde sur un seul appareil à la fois. La première frappe qui marqua le début des hostilités a été un « tir de décapitation », lancé le 20 mars à 5 h 30 (heure locale). L'informateur avait informé la CIA par téléphone satellite que Saddam Hussein se trouvait dans un bunker enterré sous ce complexe. Perrin), Patrice Gélinet revient sur l’une des plus célèbres manipulations des faits : les supposées armes de destruction massive détenues par Saddam Hussein qui ont déclenché la guerre en Irak. Que pouvons-nous dire face à la tragédie du peuple irakien ? Cependant, si le 1er mai 2003 le président américain annonce la fin des opérations militaires, et un bilan de pertes minimes ( la mort de 122 Américains et 33 Britanniques), la situation sur place n'est toujours pas stabilisée en juillet 2006. Les forces d'opérations spéciales (Rangers, Special Forces, opérations psychologiques…) ont joué un rôle important (pour la collecte de renseignements, la recherche des ADM et la traque des terroristes). Et quand je vois certains idiots faire des courbettes devant ces démons j’ai la nausée. Dans ce contexte, l’Irak après 2003 avait certes été vaincu avec la fin de Saddam Hussein, mais il fallait l’aider dans sa reconstruction ; et aider ainsi à ressouder la communauté internationale. Comment, dans de telles conditions, les millions d1habitams de cette ville martyre pourraient-ils encore rester sains d'esprit ? France Télévisions utilise votre adresse e-mail afin de vous adresser des newsletters. Que sera l’espèce humaine dans... 10 millions d’années ? Ces contenus sont publiés en anglais ou en français. C'est le complexe militaro industriel. Directeur général du cabinet New Horizon Partners. Ainsi, alors que les Américains ont échoué en Irak, ils doivent faire avec les menaces en Iran, en Corée du Nord et un risque d’extension continue de la guerre d’Afghanistan au Pakistan. Et c'est vrai que les médias n'ont pas décidé qu'il fallait faire la guerre, mais elles ont été entraînés dans la période post-11 septembre où venait de la Maison-Blanche, de Washington, immédiatement la sentence et j'ai envie de dire 'vous êtes antipatriotique', ça muselait pratiquement tout le monde. Dans les mois qui avaient précédé l'invasion, les forces de la coalition avaient fait courir le bruit d'une possible vaste opération aéroportée qui, depuis le désert irakien situé près de la frontière jordanienne aurait pu conduire une offensive sur Bagdad suivant une direction sud-ouest ⇒ nord-est, en passant notamment par Falloujah ; en réalité, cette opération, demandant des moyens très importants, en particulier au niveau de la logistique, et très risquée si les Irakiens avaient décidé de mettre en place des troupes sur les aérodromes qui auraient dû dans ce cas être utilisés par les forces de la coalition, ne semble jamais avoir été réellement planifiée, et les Irakiens ne semblent pas y avoir réellement cru[réf.
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